Publié le 21 Janvier 2022

Bonjour à toutes et à tous,

 En ce mois de janvier, je vous renouvelle les vœux de l’équipe CFE-CGC du groupe ExxonMobil.

 Comme chaque année, la coordination CFE-CGC vous adresse le bulletin d’adhésion, afin que nos adhérents historiques renouvellent leur soutien, mais également pour donner l’opportunité à celles et ceux d’entre vous qui recevez régulièrement nos messages d’information, et appréciez le travail de vos élus et mandatés, de marquer votre soutien et votre engagement concret.

 Au travers de cette adhésion, vous renforcez le poids de la CFE-CGC et nous permettez de porter vos intérêts avec un plus grand impact.

 Vous aurez tous également l’occasion de nous aider à poursuivre notre travail lors des élections professionnelles qui se dérouleront à l’automne prochain.

 Soyez toutes et tous assuré(e)s de notre engagement sans réserve pour vous représenter et vous défendre.

 Cordialement,

 François REMONT

Coordinateur CFE-CGC pour les sociétés du groupe ExxonMobil en France

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Publié dans #CFE-CGC

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Publié le 5 Janvier 2022

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Publié le 15 Décembre 2021

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Publié le 2 Novembre 2021

Depuis le 1er janvier 2019, le Code du travail prévoit la désignation, par le comité social et économique (CSE) et parmi ses membres, d’un référent en matière de lutte contre le harcèlement sexuel et les agissements sexistes.

La loi confère une double mission à ce référent, consistant à lutter contre :

  • le harcèlement sexuel
  • les agissements sexistes

En revanche, la loi ne prévoit pas les actions concrètes qu’il peut réaliser pour remplir cette mission laquelle, en toute logique, comporte un rôle de prévention et, le cas échéant, d’accompagnement des victimes.

Vos contacts sont :

Pour en savoir, plus, vous pouvez consulter le fichier ci-dessous

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Publié dans #Social, #CFECGC

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Publié le 11 Octobre 2021

A quelques semaines du terme du déploiement du PSE, il est temps d’en dresser un premier bilan…

Lors de la négociation, nous avons tenu une position ferme, quelquefois incomprise et qui nous a parfois été reprochée, dans le seul objectif de n’avoir aucun départ contraint. Cette position ferme a permis de faire évoluer ce PSE et ainsi, avoir un nombre de volontairessuffisant pour aboutir à cet objectif.

Nous voulions également nous assurer que ceux qui resteront, seront dans de bonnes conditions de travail pour « faire tourner » l’entreprise et la pérenniser.

Aujourd’hui, le zéro départ contraint est atteint (hors 2 cas spécifiques en cours de revue), et c’est un accomplissement important.
Désormais, dans le cadre des 215 départs actés, l’accompagnement des départs volontaires externes est l’un des axes fort de notre mission.

La CFE-CGC poursuit son travail, dans les commissions de suivi pour accompagner chacun d’entre vous, impacté directement ou indirectement, mais également dans les CSSCT, les CSE locaux et le CSE Central pour nous assurer que tous ceux qui restent travailleront dans de bonnes conditions.

Durant ces derniers mois, nombre d’entre vous nous ont demandé conseils et soutien, et nous restons à votre disposition pour vous accompagner.

Désormais, d’autres sujets vont venir sur le devant de la scène, tant en matière de négociations annuelles que de stratégie d’entreprise.

La CFE-CGC œuvre notamment pour que ce tournant de notre histoire soit concrétisé par le retour des investissements de développement (on en voit quelques prémices positifs), qui sont une condition indispensable pour garantir la pérennité de nos sites, nos organisations,nos conditions de travail et nos emplois.​​​​​​​

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Publié le 9 Juillet 2021

La 2ème commission de suivi locale du PSE s’est tenue le lundi 5 juillet sur notre plateforme. 
Lors de cette séance la Direction nous a fait  un point sur la progression des départs volontaires et des reclassements.
A ce jour, 55 volontaires « de droit « (dont le poste est supprimé) ont vu leur départ confirmé ; concernant les autres volontaires aucune réponse ne leur a  encore été donnée, mais la Direction s’engage à leur donner une réponse fin juillet.
Reste à reclasser 92 non volontaires sur des postes supprimés, pour cela 105 propositions de reclassement ont été faites (plusieurs personnes parfois impliquées dans une chaine de reclassement), 90 salariés ont répondu favorablement.
La Direction a indiqué que la première proposition de reclassement faite aux salariés est en adéquation avec leurs compétences et sera la meilleure proposition possible. Elle affirme ainsi qu’en cas de refus, la 2eme proposition sera obligatoirement moins intéressante pour le salarié.
Lors de cette séance, il nous a également été confirmé que le comité de suivi  n’aura accès à aucune liste nominative que ce soit des volontaires ou des propositions de reclassement. Ceci ne nous permet donc pas de juger de la pertinence des propositions qui vous sont faites.
La Direction a rappelé qu’étant donné le nombre important de volontaires il n’y aura pas de départ contraint sur notre plateforme, hors refus de toute proposition de poste de reclassement.
La prochaine commission de suivi centrale aura lieu le 12 juillet à NDG.

La CFE-CGC peut vous aider : Si vous rencontrez des problèmes, n’hésitez pas à faire appel à  vos représentants CFE-CGC de la commission de suivi.

  • EMCF : Jean-Pascal Pencreach / Nathalie Karbowski / Anne Buisson 
  • ERSAS PJG : Gilles Telal  / François Remont

Les représentants de la  CFE-CGC vous accompagnent dans cette période synonyme de stress et d’inquiétude.
 

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Rédigé par cfe-cgc.-exxonmobil

Publié dans #PSE, #UFIP, #ExxonMobil

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Publié le 8 Juillet 2021

Comme à chaque fois, la CFE-CGC s’est rendue à l’invitation du président de la République pour défendre ses points de vue. Tout en sachant que l’écoute des partenaires sociaux n’est pas le point fort des gouvernants actuels.

« Une ambiance de bienséance par rapport au lieu et à l’invitation faite par le président de la République aux partenaires sociaux » : c’est en ces mots que François Hommeril, président de la CFE-CGC, qualifie l’atmosphère de la « réunion d’écoute » qui s’est tenue à l’Élysée, le mardi 6 juillet. Côté gouvernemental, étaient présents autour d’Emmanuel Macron le Premier ministre Jean Castex, le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire, la ministre du Travail Élisabeth Borne ainsi que les principaux conseillers sociaux et directeurs de cabinet. Du côté des partenaires sociaux, étaient conviés les leaders des cinq organisations syndicales représentatives de salariés et les trois organisations patronales représentatives.

Le déroulement de la séance est assez hiératique. Le président de la République prononce une allocution liminaire qui est complétée par un mot du Premier ministre, après quoi les invités s’expriment lors d’un tour de table, le tout suivi par une conclusion du président. Il n’y a pas d’interaction ni de débat. Chacun déroule ce qu’il a préparé.

PAS D’ANNONCE SUR LES RETRAITES
Pour la petite histoire, c’est un texto envoyé la veille aux leaders syndicaux et patronaux qui précisait l’ordre du jour avec, au menu, l’examen de la situation économique et les mesures de relance à prendre dans un contexte de suppression progressive du dispositif de chômage partiel. Emmanuel Macron a fait un long topo sur la vaccination et sur les menaces représentés par le variant Delta de l’épidémie de coronavirus. Dans la partie économique de son propos, il a mentionné la réforme des retraites en disant en substance qu’il fallait la faire, qu’il ne serait « pas responsable » de ne pas la faire, mais qu’il ne fallait pas la conduire comme prévu avant la crise sanitaire. Pas d’autre annonce ni de calendrier pour cette réforme.

Concernant les positions défendues par François Hommeril pour la CFE-CGC, elles peuvent être résumées par les thèmes ci-dessous. 

VACCINATION OBLIGATOIRE
Le président de la CFE-CGC a rappelé que, depuis le début de la crise, son organisation s’était abstenue de critiquer l’action gouvernementale en matière sanitaire et qu’elle n’entendait pas changer de ligne. Quand le pays s’est engagé dans une campagne de vaccination massive, la CFE-CGC a apporté toute sa connaissance terrain des entreprises afin de favoriser les opérations.

CHÔMAGE PARTIEL
La CFE-CGC a soutenu « la décision politique forte » de miser massivement sur le chômage partiel. Elle estime qu’il faudra, le moment venu, procéder à « un audit des sommes engagées » dont, a rappelé François Hommeril, « un tiers provient de l’Unedic et donc des cotisations sur les salaires ». Le président confédéral a redit son étonnement quant au fait que des multinationales ayant touché de l’argent du chômage partiel versent néanmoins des dividendes à leurs actionnaires…

PLANS DE SAUVEGARDE DE L’EMPLOI
François Hommeril a réitéré les inquiétudes de la CFE-CGC sur les PSE en cours et sur le fait que les leçons de la crise et les engagements politiques de travailler sur les relocalisations ne soient pas suivis d’effet : « Il y a toujours des entreprises qui ferment alors que nous considérons qu’elles ne devraient pas, qui ne développent pas les stratégies adaptées, qui ne sont pas à la hauteur des enjeux. »

CONDITIONNALITÉ DES AIDES
Point suivant de l’intervention de François Hommeril : la nécessité de renforcer les dispositifs de conditionnalité des aides, « de façon à avoir les meilleures garanties que les mesures de soutien atteignent les entreprises qui en ont vraiment besoin, et que l’argent public soit bien employé ».

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
Le président de la République ayant évoqué ce point, François Hommeril a acté qu’il était « majeur pour la relance économique ». Mais il a ajouté, un an après la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, que la CFE-CGC ne trouvait « pas beaucoup de logique entre cet engagement de transition énergétique et la fermeture des centrales nucléaires ».

RECHERCHE
François Hommeril a rappelé « la nécessité absolue d’investir dans la recherche », alors que la France est « le mauvais élève de l’Europe » et que le niveau d’investissement dans la recherche publique n’est pas suffisamment élevé. « Il en résulte une fuite des cerveaux extrêmement importante, qui entraîne une diminution de la créativité et de la capacité à créer de l’innovation et du redéveloppement industriel. »

LES PRIORITÉS DE GESTION DES ENTREPRISES
François Hommeril estime nécessaire de « questionner les modes de gestion et de gouvernance des entreprises pour traiter les raisons de fond qui entrainent des délocalisations ». Une façon de dire que, dans les sociétés, « trop d’énergies internes sont focalisées sur la maximisation du profit pour les actionnaires ».

RÉFORME DE L’ASSURANCE-CHÔMAGE
François Hommeril a réitéré l’opposition de la CFE-CGC à la réforme gouvernementale de l’assurance-chômage en soulignant que l’application de la dégressivité des allocations, « seule mesure qui est entrée en vigueur au 1er juillet puisque le salaire journalier de référence a été repoussé par le Conseil d’État, et que le bonus–malus ne portera effet sur les entreprises que dans deux ans », va pénaliser immédiatement les cadres au chômage. « Ils vont voir leurs allocations baisser alors que tout le monde sait qu’il s’agit d’une mesure inefficace, injuste et injustifiée en matière d’emploi. »

RÉFORME DES RETRAITES
François Hommeril a conclu son propos en martelant que rien ne justifiait la réforme des retraites dans son optique actuelle, « surtout en s’appuyant sur des arguments non conformes à la réalité des faits », et alors même que « la nécessaire adaptation de nos régimes de retraite permet d’assurer la pérennité du système par répartition ».

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Publié dans #CFECGC, #PSE, #UFIP, #reformedesretraites, #Social

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Publié le 15 Juin 2021

Au sommaire du nouveau numéro du Bulletin confédéral :

-    En bref 
-    « La CFE-CGC est en phase avec les attentes des salariés » 
-    Europe : Maxime Legrand (CFE-CGC) élu président de la CEC 
-    Mutuelle Générale : 10 choses à savoir sur l’accord Open Travail 
-    Hôtellerie-restauration : la CFE-CGC signataire de l’accord d’APLD 
-    Fonderie de Bretagne : la CFE-CGC appelle Renault au dialogue 
-    Regards Emplois
-    Regards Équations  
-    Regards Égalité des chances
-    Regards durables 
-    RSE, développement durable : la CFE-CGC accélère
-    Tendances
-    Bulles Twitter

 

A découvrir en version interactive ici Bulletin Confederal N89 (calameo.com)

ou à télécharger ci-dessous :

 

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Publié dans #CFECGC, #ExxonMobil, #Social, #adhérent

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Publié le 10 Juin 2021

Visale (Visa pour le Logement et l’Emploi) est un dispositif de garantie locative gratuite qui a été mis en place au 1er février 2016 par Action Logement dont la gestion est assurée par les partenaires sociaux. 

La CFE CGC reconnait qu’un tel dispositif facilite l’accès au logement du secteur privé ou social des salariés en apportant au bailleur une garantie sur la paiement des loyers sur toute la durée du contrat de location, dans la limite de 36 loyers impayés. Au titre de l’utilité sociale d’Action Logement et notamment de sa mission d’accompagner les salariés dans l’accès au logement et au vu des montants engagés par Action Logement pour financer ce dispositif, la CFE-CGC est convaincue qu’un tel dispositif est de nature à faciliter l’accès à l’emploi et doit être accessible à l’ensemble des salariés.

Jusqu'à présent, ce dispositif concernait les étudiants, les travailleurs précaires de moins de 30 ans, quelle que soit leur situation professionnelle, et tous les salariés nouvellement embauchés, mutés ou avec une promesse d’embauche. Depuis le 4 juin 2021, cette aide, accessible aux jeunes de moins de 30 ans, s’adresse désormais à tous les salariés, sans condition de mobilité professionnelle, sans limite d’âge, mais à condition de justifier d’un salaire inférieur ou égal à 1.500 euros nets par mois, et ce, quelle que soit leur situation d’emploi (contrat à durée indéterminée, contrat à durée déterminée, intérim…).

Bien que l’évolution du dispositif Visale va concerner 6 millions de personnes supplémentaires éligibles, il n’en demeure pas moins que les salariés des classes moyennes sont loin d’être bénéficiaires du dispositif alors qu’ils sont eux-aussi confrontés à des difficultés d’accès au logement, notamment dans les zones dites tendues. Cette évolution du dispositif va exclure la grande majorité des contributeurs à la Participation des Employeurs à l’Effort de Construction (PEEC) que sont l’immense majorité des salariés qui gagnent plus de 1500 € net par mois, y compris des travailleurs de la première ligne pourtant salués au plus fort de la crise pour leur engagement.

La CFE-CGC rappelle que le salaire médian en France est de 1.789 euros net/mois et que les salariés disposant d’un tel niveau de revenus ont autant de difficultés à se loger que les autres. A ce titre, rien ne justifie que les salariés des classes moyennes, notamment ceux de l’encadrement, se sentent discriminés et soient écartés du dispositif.

Pour la CFE-CGC, il n’est pas acceptable qu’Action Logement se substitue à l’État pour compenser les baisses des aides au logement résultant entre autres de la réforme des APL et excluant de nombreux salariés des emplois de la PEEC.

Nul doute qu’il y a une rupture d’égalité qu’il faut corriger.

Pour la CFE-CGC, il est temps de privilégier l’universalité des services, renforcer davantage l’utilité sociale d’Action Logement et faire reconnaître son rôle pour l’ensemble des salariés. A défaut, c’est l’adhésion même des salariés et des entreprises à la PEEC et à Action Logement qui serait mise en péril.

 

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Publié dans #CFECGC, #Logement, #Social

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Publié le 31 Mai 2021

Les objectifs que la CFE-CGC a poursuivi depuis l’origine de la négociation du PSE :

  • O départ contraint
  • Un processus fluide et transparent pour limiter la pression sur le personnel
  • Des organisations résiduelles fonctionnant, avec une charge de travail alignée avec les ressources
  • Des perspectives de développement pour notre groupe en France, et donc pour ses salariés

Le point d’étape réalisé le 20 mai :

  • 328 volontaires au départ
    • La direction a exposé la dispersion des volontaires par site, par catégorie professionnelle, par genre
    • L’image présentée donne confiance dans le fait qu’il n’y aura pas de départ contraint
    • Un certain nombre de volontaires va se voir refuser le départ du fait du nombre important de candidats

Les points de vigilance pour la CFC-CGC :

  • Aboutir à la concrétisation du 0 départ contraint, de façon fluide
  • Une communication rapide permettant l’apaisement pour tous et dans toutes les organisations
  • Des équipes résiduelles ayant les ressources nécessaires pour atteindre les objectifs futurs sans pression menant à des RPS
  • Une réelle vision du futur pour nos sites en France, avec des perspectives de développement de nos activités
  • Vos élus CFE-CGC dans les commissions de suivi :
    •  EMCF : Jean Pascal  Pencreach, Nathalie Karbowski, Anne Buisson
    •  ERSAS FOS : Frédéric Mineau, Céline Joly
    •  ESAF : Laurent Decalf. Sophie Carré, Rémy De Oliveira
    •  ERSAS PJG : Gilles Telal, François Remont
       

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Publié dans #CFECGC, #ExxonMobil, #PSE, #UFIP

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